Ils étaient chaque jour tous ensemble assidus au temple, ils rompaient le pain dans les maisons, et prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de coeur, louant Dieu, et trouvant grâce auprès de tout le peuple. Et le Seigneur ajoutait chaque jour à l’Église ceux qui étaient sauvés.
Actes2.46-47
Il dit aussi à celui qui l’avait invité: Lorsque tu donnes à dîner ou à souper, n’invite pas tes amis, ni tes frères, ni tes parents, ni des voisins riches, de peur qu’ils ne t’invitent à leur tour et qu’on ne te rende la pareille. Mais, lorsque tu donnes un festin, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles. Et tu seras heureux de ce qu’ils ne peuvent pas te rendre la pareille; car elle te sera rendue à la résurrection des justes.
Luc 14:12-14
Ce support vidéo en anglais nous montre comment gagner les âmes selon le modèle de croissance de l’Église primitive en servant le repas autour de la parole de Christ avec joie et simplicité de cœur. Une démonstration franche de la loi de Christ dans l’évangélisation du monde (Actes 2 : 46-47) !
De fait, la loi de Christ, c’est porter les fardeaux les uns des autres. Autrement dit, avoir de l’ amour les uns pour les autres selon les commandements de notre Seigneur Jésus-Christ (Galates 6 : 2; Matthieu 22 : 36-40).
En vérité, les chrétiens sont appelés avant tout à s’affranchir réellement de la loi du péché et de la mort au moyen d’une vraie conversion en Jésus-Christ afin d’accomplir la loi de vie en Jésus-Christ. La vie en abondance comblée de grâce ! D’ailleurs, l’apôtre Paul l’a si bien expliqué aux Galates : « toute la loi est accomplie dans une seule parole : tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Galates 5 : 14).
Repentez-vous, vous qui donnez à diner pour « empoisonner » les âmes des êtres humains faits à l’image de Dieu, pour lesquelles le Seigneur Jésus est mort à la croix. Ne voyez-vous pas les signes de la fin ? Tout devient de plus en plus fluide excepté pour les incrédules qui refusent de comprendre.
So continuing daily with one accord in the temple, and breaking bread from house to house, they ate their food with gladness and simplicity of heart, praising God and having favor with all the people. And the Lord added on the church daily those who were being saved .
Act2.46-47
Ils étaient chaque jour tous ensemble assidus au temple, ils rompaient le pain dans les maisons, et prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de coeur, louant Dieu, et trouvant grâce auprès de tout le peuple. Et le Seigneur ajoutait chaque jour à l’Église ceux qui étaient sauvés.
Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous-car il est écrit: Maudit est quiconque est pendu au bois, –
Galates 3: 13
Image: Medomed
Or, la loi est intervenue pour que l’offense abondât, mais là où le péché a abondé, la grâce a surabondé,
Romains 5 : 20
Le mot Ébal est mentionné pour la première fois dans le Pentateuque, plus précisément dans le livre de Deutéronome. Au fait, ce passage nous montre clairement le rôle qu’avaient joué les montagnes de Garizim et d’Ébal sur l’engagement que devrait prendre le peuple d’Israël sur l’observance de la loi divine. Un engagement d’appartenance, de fidélité et de reconnaissance au Très-Haut qui l’a merveilleusement soutenu afin de prendre possession de la terre de Canaan.
Ces deux monts étaient situés « de l’autre côté du Jourdain, derrière le chemin de l’occident, au pays des Cananéens qui habitent dans la plaine vis-à-vis de Guilgal, près des chênes de Moré » (Deutéronome 11 : 29-30). En outre, ces éminences jumelles étaient séparées par la vallée fertile et serrée de Sichem.
Conformément aux instructions que l’Éternel avait données à Moïse, les enfants d’Israël avaient l’obligation de prononcer la bénédiction sur la montagne de Garizim et la malédiction sur la montagne d’Ébal. Après la conquête de la ville d’Aï, juste avant de prendre possession de la terre promise, Josué avait mis en exécution ces ordres selon ce qui est écrit dans le livre de la loi. Il a élevé sur le mont Ébal un autel de pierres brutes à Élohim-Yahvé sur lesquelles on ne porta point le fer (Josué 8 : 30-35).
Les six tribus de Ruben, Gad, Aser, Zabulon, Dan, et Nephthali se sont tenus comme prévu sur le mont Ébal suivant la volonté de l’Éternel exprimée par Moise afin de déclarer la malédiction contre ceux qui perpétraient de délits graves au sein du peuple conduit par la main toute puissante de Yahvé (Deutéronome 27 : 13-26 ; Josué 8 : 33).
Comme l’apôtre Paul l’a dit dans son épitre aux Romains : « or la loi est intervenue pour que l’offense abondât, mais là où le péché a abondé, la grâce a surabondé » ; effectivement, les enfants d’Israël sous la loi de Moise étaient enfermés dans la malédiction, car ils n’arrivaient pas à obéir aux commandements de Dieu (Romains 5 : 20).
Les offrandes et les sacrifices pour les péchés qu’on présentait à l’Éternel n’étaient pas à même de désinsérer le péché du monde. Sous l’Ancienne Alliance, il était pratiquement impossible que « le sang de taureaux et des boucs ôte les péchés ». L’inefficacité avérée des holocaustes et de sacrifices à effacer le péché du monde commis sous la loi a eu comme effet l’abolition ou la caducité de la « première chose pour établir la seconde ».
En réponse à l’« inutilité » de l’Ancienne Alliance, la grâce a donc surabondé avec la venue de Jésus-Christ, la Parole faite chair (Matthieu 5 : 17, Romains 5 : 20, Jean 1 : 1-17). Le fils de Dieu a pris conséquemment un corps pour s’offrir en sacrifice une fois pour toutes afin d’arracher l’humanité de la vanité du péché et de la mort.
Il est devenu malédiction pour notre salut ; il a satisfait parfaitement la volonté du Très-Haut par son sacrifice (Galates 3 : 13). C’est pourquoi quiconque croira en lui en s’éloignant de la souillure vivra pleinement et glorieusement sous la grâce. Puisque le Seigneur Jésus-Christ nous a rachetés de l’iniquité par son sang versé à la croix, nous devrions marcher en toute pureté en produisant des œuvres qui magnifient son saint nom.
Les rebelles qui continuent à commettre, en ce temps de la fin, des crimes abominables fortement désapprouvés sur le mont Ébal (voir la vidéo) doivent se repentir et venirà Christ pour le pardon de leurs péchés. N’entendez pas demain, car ça peut être trop tard. Ne remettez pas au lendemain ce que vous devriez faire maintenant. Ainsi, le Saint-Esprit changera vos cœurs et vous vous conduirez en véritables enfants de Dieu, au nom de Jésus.
La Banque mondiale a créé, en 2017, un mécanisme similaire à une assurance pour aider les pays les plus pauvres à lutter contre une éventuelle pandémie. L’épidémie du coronavirus originaire de Wuhan pourrait entraîner la première application de cet outil dont l’utilité et l’efficacité ont été remises en question.
Hier, elles s’arrachaient, aujourd’hui plus personne n’en veut. Les “obligations pandémiques” (“pandemic bonds”) ont perdu plus de 50 % de leur valeur depuis le début de l’épidémie du coronavirus originaire de la ville chinoise de Wuhan, rapporte la chaîne d’information qatarie Al-Jazira, jeudi 18 février.
Les investisseurs qui en détiennent craignent que le Covid-19 ne devienne l’événement déclencheur leur faisant perdre une partie de leur mise initiale. Ces obligations, créées par la Banque mondiale en 2017, fonctionnent sur un principe similaire à une assurance : tant qu’il n’y a pas de pandémie, les acquéreurs de ces titres touchent des intérêts annuels élevés et des primes d’assurance, mais si une crise sanitaire se déclenche, ils doivent reverser tout ou partie de leur investissement à un fonds spécifique de la Banque mondiale destiné à lutter contre les pandémies. Ces sommes doivent ensuite servir à aider les pays les plus pauvres à contenir une maladie ou un virus et à limiter l’impact économique de l’épidémie.
“Maladresse financière”
Pour les ONG et acteurs du secteur de la santé, le nouveau coronavirus, qui a contaminé près de 80 000 personnes dans le monde, dont plus de 2 600 mortellement, représente un “test critique” pour la viabilité d’un mécanisme très controversé, souligne le Financial Times. Larry Summers, un ancien économiste en chef de la Banque mondiale et ex-secrétaire au Trésor du président américain Bill Clinton, a qualifié les “obligations pandémiques” de “maladresse financière” et “d’erreur embarrassante”. Olga Jonas, une économiste devenue la critique la plus virulente de ce mécanisme après avoir passé plus de 30 ans à la Banque mondiale, estime que les investisseurs ont été les seuls gagnants.
Pourquoi tant de haine ? À l’origine, ces “pandemic bonds” avaient, pourtant, tout d’une bonne idée. La Banque mondiale les a développées en réponse à l’épidémie d’Ebola, qui a causé la mort de plus de 11 000 personnes entre 2014 et 2016. Ces instruments financiers sont destinés à transférer une partie du risque économique associé à une pandémie au secteur financier. L’argent doit, en outre, être rapidement mobilisable puisque les investisseurs sont obligés de payer lorsque des conditions prédéfinies sont remplies. Il n’y a donc pas à attendre l’issue de négociations politiques parfois difficiles lors de collectes de fonds auprès des États pour répondre à une crise.
La Banque mondiale a émis deux types d’obligations. L’un couvre un large éventail de risques pandémiques, comme les coronavirus, Ebola, la fièvre hémorragique de Crimée-Congo ou encore la fièvre de la Vallée du Rift. Il est considéré comme plus risqué – et plus lucratif – que le second “pandemic bond” car les conditions déclenchant le remboursement par les investisseurs sont plus faciles à réunir. L’autre ne couvre que les hypothèses de pandémie grippale et de coronavirus.
Et un certain nombre de ceux qui avaient exercé les arts magiques, ayant apporté leurs livres, les brûlèrent devant tout le monde: on en estima la valeur à cinquante mille pièces d’argent.
Actes 19: 19
Centre commercial, politique et religieux de l’Asie occidentale, était située près de l’embouchure du Caystre, sur la mer Égée. Pline écrit que dans l’Antiquité, « la mer avait l’habitude de monter jusqu’au temple de Diane ». Cependant, le port naturel et l’ensemble de la zone ont été progressivement ensablés et aujourd’hui, les ruines de la ville reposent dans une basse plaine, à environ 7 kilomètres, à l’intérieur des terres.
À l’instar des autres cités de l’antiquité, Éphèse était une ville profondément religieuse. Elle adorait surtout Diane (L’Artémis des Grecs), la déesse de la fertilité en Asie. On construit en son honneur, et sur ce même site, trois sanctuaires (le premier aux environs de la fin du huitième siècle avant notre ère) et deux autres splendides temples. Le premier de ceux-ci fut commencé vers 550 avant Jésus-Christ, inauguré en 430, puis incendié en 356, la nuit même où naquit Alexandre le Grand. Il fallut plus de trente ans pour ériger le second temple. Les femmes d’Éphèse vendirent leurs bijoux pour aider au financement de la construction. Des rois offrirent des colonnes, et des dons en or, ainsi que des meubles de toutes sortes, affluèrent de nombreux pays. Lorsque la construction fut achevée, en 323 avant Jésus-Christ, il représentait le plus bel édifice jamais érigé dans tout le monde grec, et fut salué comme étant l’une des sept merveilles du monde antique. Une richesse immense s’y accumula, grâce aux dons et aux legs. Sa célébrité avait sa source dans l’image de Diane, qu’il abritait. On raconta aux esprits faibles que cette image était descendue du ciel (Actes 19 : 35).
Paul travailla dans la ville pendant trois ans. Il put ainsi poser les fondations de la plus solide église chrétienne du premier siècle. Son ministère y fut si efficace « qu’un assez grand nombre de ceux qui avaient pratiqué la sorcellerie apportèrent leurs livres et les brûlèrent devant tous » (Actes 19.19). Le culte de Diane diminua jusqu’à ce que Démétrius, un orfèvre, suscite une émeute contre Paul (Actes 19.24, 38). Timothée et Jean y continuèrent l’œuvre, ainsi que dans les six autres églises de la région. La progression du christianisme coïncida avec le déclin du culte de Diane.
Car nous n’avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir à nos faiblesses; au contraire, il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché.
Hébreux 4 : 15
Purifions-nous donc de toute souillure de la chair et de l’esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu.
Voici, il vient avec les nuées. Et tout oeil le verra, même ceux qui l’ont percé; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui. Oui. Amen!
Apocalypse 1: 7
En lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce,
(Éphésiens 1 : 7)
Il n’y a pas de délivrance des corps ni des âmes ni des destinées, encore moins du monde sans un libérateur. Jésus-Christ, le Messie est notre rédempteur (Éphésiens 1 : 7).
Il nous a délivrés du péché, de la mort et de la colère de Dieu (1 Thessaloniciens 1 : 10). Nous ne sommes plus sous la malédiction en Jésus-Christ si nous obéissons à ses commandements.
Le Seigneur Jésus revient bientôt pour boucler la phase de la délivrance du monde qu’il a déjà accompli à la croix. Tout œil le verra dans sa gloire (Apocalypse 1 : 7; Luc 21 :27) !
Ces prières sont flexibles de même qu’ adaptables selon l’inspiration et les instructions du Saint-Esprit en fonction de la situation que tu vis actuellement.
J’encourage le frère ou la sœur qui n’est pas encore né de nouveau en Christ à recevoir avant tout par la prière Jésus-Christ comme son Seigneur et son Sauveur personnel.
Car c’est bien Christ en toi qui va opérer cette délivrance et te tiendra compagnie pour t’ affermir dans la foi en son nom précieux.
Étant donné que les démons se cachent derrière lespéchés, certaines délivrances s’opèrent seulement au moyen d’ une confession sincère faite avec foi par une personne repentante.
D’autres esprits, par contre, comme nous le savons, ne sortent que par la prière et le jeûne (Matthieu 17 :21). Le concours des anciens de ton église locale dans certains cas est indispensable.
Fuis l’impudicité, la masturbation, et la musique profane si tu ne veux pas ouvrir les portes de ta vie et celles de ta famille aux esprits dévoreurs tels que les succubes -incubes (les esprits de mariage spirituel), les démons des eaux et autres esprits tenaces.
LES 15 PRIÈRES DE LA PREMIÈRE PARTIE
Tu pardonnes toutes mes iniquités et tu guéris toutes mes maladies, au nom de Jésus. Psaumes 103 : 3
Père Céleste, pardonne-nous, au nom de Jésus, pour tous les faux serments et les fausses promesses, les parjures, que nous avons proférés. Zacharie 8 : 17
Pardonne nos pères, au nom de Jésus, pour tous les autels qu’ils ont élevés aux dieux étrangers et aux idoles. Daniel 9 : 16
Père éternel, regarde à l’agneau immolé qui se tient devant ta face et souviens-toi de ta miséricorde salvatrice, au nom de Jésus. Apocalypse 5 : 6
Détourne ta colère de nous et fais luire ta face de gloire sur nos vies, au nom de Jésus. Nous sommes ton peuple, le troupeau de ton pâturage, au nom de Jésus. Daniel 9 : 16, Psaumes 95 : 7
Je purifie les racines de ma vie ainsi que ma conscience par le sang de Jésus, au nom de Jésus. Hébreux 9 : 12-14
Éternel Dieu des armées, tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Nous, ton peuple et tes enfants, n’avons jamais été consumés, au nom de Jésus. Malachie 3 : 6
Yahvé, fais-moi connaitre davantage ton nom et celui de ton Fils, le Seigneur Jésus à travers une vie de prière enflammée, de méditation et de service, par la puissance du Saint-Esprit, au nom de Jésus. Jean 17 : 3
Père Éternel, aide-moi à m’attacher à toi pour que je te serve selon tes plans et tes voies sur ma vie, au nom de Jésus. Job 22 : 21-22, 2 Corinthiens 4 : 6
Seigneur Jésus, je t’offre mon corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable. Je te demande de défendre ta vision sur ma vie et sur mon ministère. Romains 12 : 1-2
Seigneur Jésus renouvelle mon intelligence afin que je comprenne ta volonté avec la gloire qui s’attache à ton œuvre salvatrice, laquelle nous a rachetés à un grand prix. 1 Corinthiens 6 : 19-20
Seigneur Jésus, aide-moi à chercher d’abord le Royaume de Dieu ainsi que sa justice pour que je participe pleinement à la réalisation de ta Grande Commission. Matthieu 6 : 33, Actes 1 : 8, Matthieu 28 : 19
Élohim-Yahvé, aie pitié de moi, transforme mes faiblesses en force, mes peurs en bravoure et courage, mes hésitations en assurance et en détermination, mes échecs en succès, au nom de Jésus.
Père Céleste, mon libérateur, je mets le sang de Jésus, notre Pâque, sur les linteaux et sur les deux poteaux de ma maison ainsi que sur ceux de ma destinée. Le destructeur ou l’exterminateur n’aura pas accès à ma demeure, et encore moins à tout ce qui m’appartient, au nom de Jésus. Exode 12 : 7, Apocalypse 7 : 3
J’asperge par la foi le sang de Jésus sur tous mes avoirs, mes biens, ainsi que sur mes patrimoines spirituels, intellectuels, familiaux, matériels, professionnels, etc. (Prière à personnaliser selon l’inspiration et les instructions du Saint-Esprit, au nom de Jésus) Exode 12 : 23 ; Apocalypse 12 : 11
Je vous le dis: au jour du jugement, les hommes rendront compte de toute parole vaine qu’ils auront proférée.
Matthieu 12 : 36
Vous avez encore appris qu’il a été dit aux anciens: Tu ne te parjureras point, mais tu t’acquitteras envers le Seigneur de ce que tu as déclaré par serment.
Mais moi, je vous dis de ne jurer aucunement, ni par le ciel, parce que c’est le trône de Dieu; ni par la terre, parce que c’est son marchepied; ni par Jérusalem, parce que c’est la ville du grand roi.
et qu’il y eût au milieu de lui ces trois hommes, Noé, Daniel et Job, ils sauveraient leur âme par leur justice, dit le Seigneur, l’Eternel.
Ézéchiel 14 : 14
Mais celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé.
Matthieu 24 : 13
Daniel, l’un de grands prophètes de la Bible, auxquels sont imputés certains livres de l’Ancien Testament, a été emmené en captivité, dans son adolescence, à Babylone par le roi de Babylone qui avait détrôné Jojakim ou Joaquin en 597 av. J-C. pour le remplacer par Sédécias.
Daniel et ses trois compagnons juifs faisaient partie de l’élite juive que le roi Nabuchodonosor avait déportée pour être à son service. Beltschatsar, son nom chaldéen, a vécu et servi, pendant une longue période, à la cour des rois Nebucadestar, Darius et Cyrus le grand.
Comme tous les grands serviteurs de Dieu dans les Saintes-Écritures, Daniel était un homme de prière continuelle et intense. Il priait trois fois le jour pour marcher fidèlement selon la volonté de Dieu (Daniel 6 : 10). Bien qu’il soit resté un long moment dans la cour du roi de Babylone, sa foi en son Dieu n’avait pas été altérée par les affres d’un pouvoir païen. Il n’était pas un flatteur ni un fanatique du roi à la quête d’un positionnement politique. Il ne tronquait pas non plus les Écritures pour l’intérêt de l’homme fort de Babylonie. Non, Daniel vivait pour demeurer dans la vision et la mission que Yahvé lui avait confiée. Il ne faisait pas de contextualisation abusive et délictueuse pour se remplir les poches dans l’intention de s’enrichir illicitement. Le prophète Daniel ne courait pas derrière l’or de la cour royale comme l’avaient fait Balaam et Guéhazi (Jude 11; 2Rois 5 : 25-27).
Il important de souligner qu’il existe une grande ressemblance entre la vie de Daniel et celle de Joseph. Tous deux ont été emmenés captifs pendant leur jeunesse. Ils étaient des exemples, et ont servi à la cour d’un roi. Tous deux ont été injustement persécutés, leurs difficultés ont été des tremplins qui les ont propulsés vers des honneurs, et c’est en interprétant des rêves qu’ils sont parvenus au pouvoir. Ils ont vécu dans la pureté, au sein des sociétés corrompues. Enfin, tous les deux sont morts en une terre étrangère.
À l’instar de Joseph et Moise, Daniel a été à la fois un homme d’État et un prophète. Comme élu du Très-Haut, il a reçu une vision panoramique dont la portée dépasse celles des autres prophètes (Bible Thompson). Les visions divines de Daniel l’ont porté au-delà de la venue de Christ et lui ont fait voir le Messie montant sur le trône, en tant que Roi des rois. Il est tout particulièrement le prophète des derniers jours.
Avec l’Esprit de sainteté de notre Seigneur Jésus-Christ, il est possible pour le Corps de Christ de vivre dans la pureté dans nos sociétés dominées par les ténèbres de la vanité. Malgré le nombre croissant de persécutions à l’égard de chrétiens dans le monde entier en ces temps de la fin, il n’est pas impossible d’avoir une foi inébranlable en Jésus-Christ, notre Sauveur. Celui qui persévéra jusqu’à la fin sera sauvé (Matthieu 24 : 13).